Nous avons eu le plaisir samedi 22 mars au Stade de France d’assister au match de rugby Stade français PARIS CASG - Stade Toulousain, les deux plus beaux palmarès du championnat de France de Rugby, dans le cadre de la 22° journée de Top 14 saison 2013-2014.

 A notre arrivée au stade, nous avons été accueilli par 2 sympathiques stadières qui nous conduits à nos places. Comme de tradition, le club du Stade Français, dans la cadre des rencontres délocalisées au Stade De France, présente un spectacle avant le coup d’envoi. Cette fois nous avons assisté à un concert de gospel, après que les écoles de rugby de la région Ile de France aient défilé et que les joueurs se soient échauffés. « L’arrivé du ballon » est cette année effectuée par un maître fauconnier qui fait remettre le ballon par un oiseau rapace à une charmante hôtesse au milieu de pom-pom girls.

 Le match commence, et rapidement les parisiens prennent le dessus sur les visiteurs avec une pénalité et un essai transformé, mais les toulousains répliquent avec un essai. Les parisiens dominent en passant au cours de la première période 2 autres essais transformés et une pénalité. Les équipes rentrent au vestiaire pour la mi-temps (là encore agrémentée par les pom-pom girls) sur le score de 27-8. Mais les toulousains forts de 15 Boucliers de BRENNUS ne s’avouent pas vaincus et vont dominer la seconde période. Ils vont passer 2 essais dont un transformé dans les 10 premières minutes. Et avec un score de 27-20, ils reviennent à un essai transformé des stadistes. L’ensemble du match est d’un très haut niveau qui ravit tous les amateurs du ballon ovale. Les toulousains ne lâchent rien et arrachent à la dernière minute avec cet essai transformé le match nul.

 Pour la 3° mi-temps, un beau spectacle pyrotechnique est offert. Avant de rentrer, nous faisons une photo de groupe autour du stade.

 Nos remerciements les plus sincères et les plus chaleureux vont à M Oliver Chalhoub vice président du club pour les places qui nous été attribuées ainsi qu’aux sympathiques stadières pour leur accueil.

 Laurent Méchineau